mercredi 25 septembre 2013

Converti à l'islam pour faire chier ses parents...



Converti à l'islam pour faire chier ses parents,
Bistrotiers lepénistes cuits au kir bourguignon,
Jean-Brian le gommeux chevauchait son jetski
Du lever au couchant, avec les gaz à fond,
En baie de Pornichet ou de Saint-Jean de Monts,
Emmerdant son prochain avec une frénésie
Qui donnait grande envie de lui péter les dents. 

#atelierderimeskakawazaki

mercredi 18 septembre 2013

Fantaisie boulangère



Jeannine et Jean-Michel, boulangers-pâtissiers,
Avaient le goût du lucre, et n'allez pas chercher
Ici quelque faidaise et/ou contrepétrie :
C'était un couple honnête de Carrières-sous-Poissy.

Madame tenait la caisse et Monsieur, le pétrin ;
L'affaire était prospère, si bien qu'un beau matin
Nos amis décidèrent d'embaucher un mitron,
Pas trop cher si possible, et puis plutôt mignon.

L'apprenti fut choisi, il paraissait discret,
Docile, obéissant, et madame reluquait,
A travers son falzard - toutes les femmes font cela -
Quelque chose de bizarre et qui lui semblait long :
Une sorte de bâtard avec deux pains aux noix,
Et elle eut soudain chaud à cette évocation.

Une semaine passa, et la brave commerçante
Intriguée par des râles venant de la remise
Y descendit sans bruit, et cria d'épouvante
En voyant son mari, ayant tombé chemise
Se faire enviander par le vigoureux stagiaire,
Qui bourrait comme un âne les miches à son pépère.

"Espèce d'enculé !" - croyait-elle si bien dire ?
"Je suis scandalisée ! T'aurais pu me prévenir !
J'veux ma part du gâteau ! Alors toi, tu décules !"
Gueula-t-elle au micheton à la grosse mentule.
De peur d'être viré - retour à Prole Emploi,
L'étalon antillais (il était de Basse-Terre)
Sans barguigner du tout, sitôt s'exécuta,
Car il ne voulait pas faire de peine à sa mère.

Un certain temps fâchés, mais vite réconciliés,
Les trois compères signèrent un CDI sans terme.
Il créèrent des recettes dignes de Lucullus :
Les religieuses au foutre, les donuts à l'anus,
Les éclairs à la jute, les braguettes au levain,
- Qui comme chacun le sait, se mangent d'une main -
Les tartes à la cyprine et les babas au sperme.

#atelierderimescyrillignac

jeudi 5 septembre 2013

Salut les mecques !



Jacky était campingcariste,
Cristale était cruciverbiste.
Ils n'étaient pas écologistes,
Mais plutôt un peu lepénistes.
C'était une paire de Français tristes
Rondouillards comme tant de boulistes
Qui suent du Ricard sur la piste.

Après le barbecue du soir,
Pleins de merguez et de pinard,
Ils montaient dans leur camping-car,
Pour mater Jean-Marie Bigard
En pétant gras comme des saoulards;
Jacky sentait gonfler son dard ?
Ils faisaient sortir le clébard,
Puis se vautraient sur le plumard,
Et s'englandaient comme deux gros lards.

Ils fourraient dans la kitchenette,
Faisant tanguer leur camionnette;
Il lui tripotait la tirette,
Elle lui chiquait la bistouquette;
Il lui limait la pacholette
- Ça ne sentait pas la violette !
Puis il l'enculait en levrette,
Et il jutait sur la moquette.

mercredi 28 août 2013

Ariane et Aurélien, deux enfants du siècle



Issu d'une lignée d'instituteurs bretons,
Aurélien Le Dantec était un rasta blond;
Barbichu à dreadlocks et altermondialiste,
Poète un peu chamane, et aussi érémiste.

C'est au cours du printemps de l'année deux-mille douze
Qu'il fit la connaissance d'une punkette à rat
Ramassant des psylos pas très loin de Bréhat
Pour avec le cosmos faire une grosse partouze.

Saisissant son djembé, énivré de huit-six,
Le natif de Paimpol se sentit romantique,
Slamma pour sa donzelle un compliment lyrique,
Puis, pété comme un coing, lui gerba dans les cuisses.

#atelierderimespierpolkak

dimanche 25 août 2013

Hé, toi ! T'aimes pas ça ?

Bérangère la catho, jupe-culotte, sac Hermès,
En Vendée au soleil parmi les naturistes,
Rougit, mouille, et s'empourpre, et au mitan des fesses,
Se surprend à rêver d'un gros vit échangiste.

Elle se verrait si bien cambrée telle une chienne,
Recevant sans répit force coups de boutoir,
D'un brassier agricole venu de la Mayenne,
Qui lui fendrait le fion comme si c'était une poire.

"Par Frigide et Boutin ! Arrêtez, voulez-vous !
Lâcherait-elle soudain à l'adresse du balourd;
"Vous me griffez le dos avec votre gourmette !"
Mais il n'en ferait rien, pistonnant tour à tour
De la prude Nantaise le cul et la craquette,
Réduite en purée, avachie comme du mou.

Aux vêpres du jeudi, la sage Bérangère,
Concassée par l'avant, pilonnée par l'arrière,
Jure à Dieu et Jésus que quoiqu'il advienne,
On peut être à la fois : mère et pute et chrétienne.

#‎atelierderimesphilippedevilliers‬

Tu n'aimes pas ça ? Ben, reprends-en !

Charlène et Tiffany, natives de la Sarthe,
Vivaient en caravane près de Cérans-Foulletourte,
Portaient des slips râpés au niveau de la tarte
Et jamais ne mangeaient de merguez au yaourt.

L'une faisait la femme et l'autre faisait l'homme;
Aux concerts de Johnny, elles chiquaient bière sur bière;
Au Bol d'Or à Arnage ou bien aux Hunaudières,
Elles se gamahuchaient à bord du mobile-home.

Ce fut un soir d'été dans un raout sudiste,
Au milieu des bikers casqués à croix gammée,
Que Tiffany glissa à la dodue Charlène :
"Est-ce que ça te dirait que ce soir je te fiste ?"
Plus tard cette nuit-là, soufflant à perdre haleine,
La drôlesse fessue en Wrangler’s délavés,
Les deux gigots en "V", un poing dans le derrière,
S'écroula en jouissant comme un gros phacochère.

#‎atelierderimescatherinelara‬

lundi 25 mars 2013

Pourquoi, et surtout, POUR QUOI FAIRE ?

Beaucoup de personnes, y compris moi-même, vivent régulièrement des situations nouvelles.

Comme nous manquons d'expérience dans ce domaine, notre tendance naturelle est de revenir en terrain connu.

Au lieu d'avoir peur de la nouveauté, nous devrions au contraire nous réjouir des nouveaux défis...

Face à l'inconnu, nous réagissons généralement par la peur. Mais en y réfléchissant bien, tout ce que vous faites ou vivez actuellement, vous l'avez fait ou vécu un jour pour la première fois.

En vous remerciant par avance pour votre prompt retour.

Riporte Abiouze

lundi 18 mars 2013

Caisse, ski, pou, riz et seau, vé ! La moure !

Salut Daniel Balavoine ! Bon OK, je sais, t’es mort et tout, et c’est horrible ;

J’ignore si tu recevras ce courriel là où tu es maintenant (je t’imagine : perché sur un nuage, à poil avec un luth, des ailes dans le dos et une plume dans le cul) mais je voulais revenir brièvement sur ce passage de « Mon fils, ma bataille » qui doit être une des deux, trois chansons « Golden Eighties-Chouchou-Coup de cœur» de Chérie FM, puisque voilà maintenant TRENTE-TROIS LONGUES ANNÉES qu’ils la diffusent TROIS PUTAINS DE FOIS PAR JOUR ;

Enfin bon, passons.

Quand tu lances de ta voix fluette de falsetto en surcharge pondérale :

« Oh j’vais tout casser-é-é-é
Si vous touchez-é-é-é
Au fruit de mes entrailles »

il me vient à l’esprit ce commentaire :

Lorsque que tu parles du «fruit de tes entrailles », je suppute que tu cherches à souligner par la force de l’hyperbole la charge émotionnelle - bien légitime - communément éprouvée par tout père lors d’une rupture conjugale et de la possible perte de la garde de l’enfant - ici en l’occurrence, un petit garçon qui a bien besoin de son papa, tout autant que son papa a besoin de lui.

Mais, comment te dire ? Cette citation à peine masquée du « Je vous salue Marie » me gêne aux entournures ;

En effet, si je comprends bien que le petit Jésus, comme la plupart des enfants qui naissent chaque jour sur Terre depuis les temps immémoriaux, soit sorti des entrailles d’une femme – fût-elle restée, dans l'imaginaire populaire, réputée, par je-ne-sais quel tour de passe-passe démiurgique, à la fois pucelle ET primipare…

…eh bien JE peine À ME FIGURER quel fruit peut bien sortir des entrailles d’un homme.

mercredi 23 janvier 2013

Kikou les corbots ! Je vous piss à la ray vous savé

Kikou les gents ! s'est moi, Pascaline Pinochaud !! Je me suit procurer le maux de passe de Francsis 15ula et je vous écrit pour vous dire que je sait pas s'est qui et SURTOUS POURQUOI y a des gents de Faceboc qui arrete pas de dénonsser mon ami Brioris Vandox en se moment !!! alors que sur cet photo je voit pas se qui a de grave vus que on vois RIEN au nivot de la zézette, nautament ! non mai !

mercredi 2 janvier 2013

Francis Quinzulla et Boris Viandox vous confirment la drôlitude de cette photo, qui met en scène une paire de super-héros bien connus.