[SYNOPSIS]

Madame Patate est un jouet basé sur le jouet de la marque "Weshkool" tout comme son mari, Monsieur Tarik Ramadan. 

Dans « Toy Story Bismillah », après une scène de jeu où elle incarne une tenancière de bar à hôtesses à Dubaï, Mme Patate est, comme ses autres amis dans un coffre à attendre qu'Augustin Tapenade vienne jouer avec eux. 

Elle informe la bande qu'elle a perdu un œil en bronze auquel elle tenait comme à la prunelle de ses yeux, la putain de sa race.

Après un malentendu sur le sac poubelle pour le grenier, Mme Patate pense qu’Augustin a voulu la manipuler pour se faire mousser la bite sur les réseaux sociaux, ce qui l'offusque et la fait pleurer. 

Nadine Zilobi a alors l'idée d'aller à la garderie Mohamed Merah mais Cyril Hanouna veut les en empêcher en tentant d'expliquer le malentendu. 

Il est, contre sa volonté, emmené à la garderie avec ses amis. Sur place, la bande fait la connaissance de Pipo et Mario qui les placent dans la Salle des Dattes Fourrées. 

BON OK c’est juste un premier jet. 

Chuis pas scénariste de profession, moi. Alors un peu de compréhension, et merci bien.

Moi c'est Héloïse mais vous pouvez m'appeler Hélo.

 Salut, moi c’est Héloïse sur la photo n°1 (vous pouvez m’appeler Hélo, no soucy), et vous pouvez voir mon mari Côme sur la photo n°2. 

Moi j’ai monté une éco-boutique trendy-citoyenne pour fashionistas de la rue Legendre, on vend des tongs biodégradables qu’on fait venir de Birmanie par conteneurs maritimes, et plein de petits trucs sympas pour décorer les lofts de tous les copains du quartier, bref je vous le fais court :  je me fais ce qu’il est convenu d’appeler des « COUILLES EN OR » comme on dit chez nous dans le village des Batignolles.

Côme est start-upper, il a développé une pure appli qui permet de noter à la baisse les livreurs Deliveroo pour booster Uber, ou faire du trading automatique sur les matières premières en se faisant une bonne culbute au passage, ou bien il vend des poires à lavement auto-nettoyantes avec régulateur de débit à des couples de retraités BDSM du 75017, bref je ne sais pas vraiment trop ce qu’il fait, mais ce que est sûr et certain c’est qu’il se fait ce qu’il est convenu d’appeler des « COUILLES EN OR », comme on dit chez nous dans le village des Batignolles.

Moi et Côme on s’est connus à @EEE-online (École Européenne des Euromanagers), une pure école de commerce connectée bien meilleure en termes d’outplacement que n’importe quel master 2 de fac de sciences éco pour crevards de troisième couronne.

Moi j’étais cheffe du BdE, j’organisais des weekends d’intégration inter ENA-IEP-business-schools, grosso-merdo l’idée c’était de réseauter/cross-fertiliser entre puceaux de la vie et futurs chefs de cabinets macronistiques et/ou se faire tringler par Gabriel Attal en comptant  sur un retour d’ascenseur socialiste, et je peux vous dire que ça payait bien – et que ça paiera encore longtemps.

Moi et Côme on est des HPI d’école Montessori mais on n’a pas pris le melon pour autant, on aime kiffer, on n’est pas vraiment le genre prise de tête, on est pas des Tristus, on est des Rigolus ! 

PUTAIN MERDE QUOI la vie est belle, Macron est réélu et sera réélu en 2027, et « CARPE DIEM » comme on dit chez nous dans le village des Batignolles. 

D’ailleurs je vais me faire tatouer ce proverbe entre le nombril et la schneck.

Là, moi et Côme on est sur un vrai projet et une vraie bonne nouvelle : 

ON VA AVOIR UN BÉBÉ !!!

Moi j’ai choisi d’avoir recours à la GPA parce que j’ai pas envie de ressembler à un éléphant de mer avachi sur la dune du Pilat à cause d’une grossesse, j’ai pas envie d’avoir la chatte comme une bouche de métro avec les steaks en mode "portes de saloon", il faut vivre avec son époque, et j’ai envie de rester bonne sous l’homme, LOL.

Bon, techniquement parlant on attend des nouvelles de Maria-Schlagista notre mère porteuse mais comme vous vous en doutez c’est pas facile-facile de joindre Marioupol ces derniers mois, BOUH à Vladimir Poutine ce salaud !!! 

#IStandWithUkraine

On vous envoie des gros bisous.

XOXOXO Hélo ❤

AND AILLE DJEUSTE GOWOUIDE MA PINSSAVELO

Ce matin j'ai sauté à bord de ma DeLorean turbo-diesel GTX et je me suis rendu en 1977 (pourquoi ai-je choisi cette année-là ?)

On était pile-poil le 1er avril, comme ici et maintenant.

J'ai allumé l'autoradio Blaupunkt PO/GO made in West Germany, et sur RTL ils passaient la chanson d'un jeune auteur-compositeur-interprète qui m'a immédiatement emballé, un peu on emballe comme une tranche de cabillaud dans une page du quotidien "L'Aurore".

J'ai foncé chez Prisunic pour me procurer le 45 tours vinyle que vous voyez en pièce jointe à ce bélino.

Au moment de payer, la caissière syndiquée CGT m'a dit d'un air entendu :

"Ah bah vous allez voir, ça va se vendre à des 900.000.000 francs TTC ce truc-là, on prend les paris ?"

(Je crois que cette brave femme, probablement peu instruite, confondait les unités, un peu comme Henri Krasucki les millions et les milliards, bon bref c'est un tantinet ballot pour une caissière).

En gros cette chanson parle d'un p'tit gars né au milieu d'un champ de chicons en Picardie, qui perd tout suite à une dette de jeu faramineuse contractée auprès d'amis de la haute société et s'en retourne vivre seul à Amiens avec sa mère - qui est aussi sa sœur et sa femme.

Mais pas de bol ! Il n'y a plus de super dans la Simca 1000 et il est obligé de se taper 50 kilomètres à pied jusqu'à la prochaine station-service FINA.

Avec son bidon, d'où le titre.

BONNE ÉCOUTE A TOUS, comme on dit au Canard Enchainé !