lundi 25 mars 2013

Pourquoi, et surtout, POUR QUOI FAIRE ?

Beaucoup de personnes, y compris moi-même, vivent régulièrement des situations nouvelles.

Comme nous manquons d'expérience dans ce domaine, notre tendance naturelle est de revenir en terrain connu.

Au lieu d'avoir peur de la nouveauté, nous devrions au contraire nous réjouir des nouveaux défis...

Face à l'inconnu, nous réagissons généralement par la peur. Mais en y réfléchissant bien, tout ce que vous faites ou vivez actuellement, vous l'avez fait ou vécu un jour pour la première fois.

En vous remerciant par avance pour votre prompt retour.

Riporte Abiouze

lundi 18 mars 2013

Caisse, ski, pou, riz et seau, vé ! La moure !

Salut Daniel Balavoine ! Bon OK, je sais, t’es mort et tout, et c’est horrible ;

J’ignore si tu recevras ce courriel là où tu es maintenant (je t’imagine : perché sur un nuage, à poil avec un luth, des ailes dans le dos et une plume dans le cul) mais je voulais revenir brièvement sur ce passage de « Mon fils, ma bataille » qui doit être une des deux, trois chansons « Golden Eighties-Chouchou-Coup de cœur» de Chérie FM, puisque voilà maintenant TRENTE-TROIS LONGUES ANNÉES qu’ils la diffusent TROIS PUTAINS DE FOIS PAR JOUR ;

Enfin bon, passons.

Quand tu lances de ta voix fluette de falsetto en surcharge pondérale :

« Oh j’vais tout casser-é-é-é
Si vous touchez-é-é-é
Au fruit de mes entrailles »

il me vient à l’esprit ce commentaire :

Lorsque que tu parles du «fruit de tes entrailles », je suppute que tu cherches à souligner par la force de l’hyperbole la charge émotionnelle - bien légitime - communément éprouvée par tout père lors d’une rupture conjugale et de la possible perte de la garde de l’enfant - ici en l’occurrence, un petit garçon qui a bien besoin de son papa, tout autant que son papa a besoin de lui.

Mais, comment te dire ? Cette citation à peine masquée du « Je vous salue Marie » me gêne aux entournures ;

En effet, si je comprends bien que le petit Jésus, comme la plupart des enfants qui naissent chaque jour sur Terre depuis les temps immémoriaux, soit sorti des entrailles d’une femme – fût-elle restée, dans l'imaginaire populaire, réputée, par je-ne-sais quel tour de passe-passe démiurgique, à la fois pucelle ET primipare…

…eh bien JE peine À ME FIGURER quel fruit peut bien sortir des entrailles d’un homme.